La besace,
qui contenait la maigre pitance du marcheur, était appelée « écharpe » en ancien français, sac en bandoulière.
qui contenait la maigre pitance du marcheur, était appelée « écharpe » en ancien français, sac en bandoulière.
Histoire du bourdon :
Au Moyen-Âge, le bourdon était ainsi l'unique compagnon de route du pèlerin.
L'objet était certes d'une aide précieuse pour la marche, mais ce bâton servait aussi à se défendre car les pèlerins ne portaient pas d'épée. C'est grâce à lui que les pèlerins parvenaient à s'opposer aux brigands et repousser les animaux sauvages. C'était souvent un prêtre qui remettait le bâton aux "jacquets", lesquels le faisaient bénir avant de quitter leur paroisse pour se rendre à Santiago, en Galice, en Espagne.
Au Moyen-Âge, le bourdon était ainsi l'unique compagnon de route du pèlerin.
L'objet était certes d'une aide précieuse pour la marche, mais ce bâton servait aussi à se défendre car les pèlerins ne portaient pas d'épée. C'est grâce à lui que les pèlerins parvenaient à s'opposer aux brigands et repousser les animaux sauvages. C'était souvent un prêtre qui remettait le bâton aux "jacquets", lesquels le faisaient bénir avant de quitter leur paroisse pour se rendre à Santiago, en Galice, en Espagne.
Calebasse
À partir de la fin du Moyen Âge, La calebasse, faite d'une courge séchée et vidée ou d'un récipient évoquant cette forme, contient la boisson du pèlerin ; elle est parfois accrochée au bourdon, à l'aide d'un crochet placé entre les deux pommeaux
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